• Eldalarya, semaine 6 : comme sur des roulettes

    Eldalarya, semaine 6 : comme sur des roulettes

     

     

    J'ai définitivement adopté la méthode des flocons dont je vous ai parlé les semaines précédentes à l'occasion des premiers bilans hebdomadaires de mon autre projet, Eldalarya. Bien sûr, je l'ai ajusté pour qu'elle me corresponde au maximum.

     

     

     

    Ainsi, en plus de faire en grande partie partie l'impasse sur l'étape 7 et les fiches persos fournies, je mets totalement de côté l'étape 8 et le listing des scènes, beaucoup trop barbant et inutile à mon goût. Il se trouve que les étapes consistant à définir l'histoire d'abord au travers d'une phrase, puis d'un paragraphe, d'une page entière et d'enfin quatre, cinq pages de synopsis me suffisent largement pour avoir une vue d'ensemble de mon roman et de mes chapitres.

     

     

    J'ai d'ailleurs commencé à appliquer ce principe de développement graduel à ces chapitres. Poser une vue d'ensemble du contenu de chacun, puis approfondir petit à petit m'aide à cibler les éventuels manques ou les passages inutiles. Je me rends compte aussi que j'écris bien plus vite, sans être freinée par un manque d'inspiration.

     

     

    Comme ce sont des premiers jets, je ne me pose pas la question de la qualité de ce que j'écris, ce qui contribue à éloigner un peu plus tout éventuel syndrome de la page blanche. Mais cette absence de blocage peut-elle être due à la nouveauté du projet, à la passion du début, comme dans une relation amoureuse ? Non, très sincèrement, je ne pense pas.

     

     

    J'ai le sentiment d'avoir passé un cap important, d'avoir assimilé les leçons reçues depuis le début de l'écriture de Tendanô. J'ai retrouvé ma motivation et mon inspiration du début. Et, surtout, le lien émotionnel avec mes histoires, ce lien qui me permet de les poser, de les faire naître, est plus fort que jamais.

     

     

    Eldalarya n'a pas vocation à être une histoire de bisounours. Mes différents personnages vont traverser pas mal de passages compliqués. Je ressens tout le panel des émotions qu'ils vont expérimenter comme si c'était les miennes (je sens que je vais pleurer quelques fois en les écrivant), ce qui est très bon signe : c'est comme ça que j'arrive le mieux à les retranscrire.

     

     

    L'impatience de mettre des mots sur les images qui me trottent dans la tête, de donner vie à mon histoire, à mes personnages, est très forte. Si un génie ou une fée m'offrait de réaliser un de mes souhait, je choisirais celui-ci : être capable d'écrire instantanément mes romans.

     

     

    Parlons un peu chiffres, si vous le voulez bien, d'autant plus que j'ai quand même trois tomes sur le feu. Comme pour Tendanô, la mise en place de mon rythme est encore en cours, mais il tient le bon bout, je devrais pouvoir aller un peu plus vite à l'avenir.

     

     

    Tome 1, L'enfant : 5204 mots

     

    Tome 2 (sans titre pour le moment) : 3224 mots

     

    Tome 3 (sans titre pour le moment) : 810 mots.

     

     

    Comme vous pouvez le voir, je garde quand même dans un petit coin de ma tête que je ne dois pas trop me disperser et qu'il est dans mon intérêt de garder un certain sens des priorités. Est-ce que ça sera toujours comme ça ? Mouais, je me fais pas trop d'illusions, je serais capable d'avoir une grosse poussée d'inspiration pour le tome 3 lol.

     

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